POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

L’hiver du temps

Le matin fuit l’hiver dans la brume du temps,

Le soleil bien souvent me chauffe à la fenêtre,

Dans la douceur du jour l’espoir fait apparaître

Un émoi dans mon âme au chagrin du printemps,

Le matin fuit l’hiver dans la brume du temps.

Une année est passée on connait ces instants,

Où le chant d’une fée éblouit tout un être,

Dans la joie au bonheur dans ce parfum champêtre

Qui s’éveille en douceur auprès des pénitents,

Une année est passée on connait ces instants.

Quand le cœur des amants se résout au silence

Qu’il ramène la foule au vent de l’excellence

On évite un moment à regarder l’amour,

Quand le cœur des amants se résout au silence.

Il est très enfantin de présager l’ivresse

Quand l’espoir a fini d’oublier la tendresse,

Dans l’ombre de la vie où s’épanche l’humour

Il est très enfantin de présager l’ivresse.

Maria-Dolores