Forme la balladette.
Orage d'amour...La Balladette...Mise en page photofiltre....Musique IA
Orage d’amour
Il est de ces instants où mon ardeur voyage
Entre une plume ardente et ce bon sentiment
Tu cherches mon aimé bien plus qu’un ornement
Mais une grande histoire autour d’un clair sillage
Quand tu viens rayonner à l’ombre d’un sarment
Coupé dans notre élan par le doux firmament.
Es-tu sûr mon aimé de charmer la tempête ?
Qui semble foudroyer le ciel et l’univers
Par des propos blessant que livrent quelques vers
Mon calame étudie entre autre une requête
Dont mon envol vers toi traverse les hivers
Et dépose l’écho au gré d’un fait divers.
Je m’endors dans tes bras d’un lumineux visage
Mon amant galérien sur l’îlot des revers
Grave ces mots d’amour dans le feu d’un orage.
Maria-Dolores
De grégory à Émile....La Balladette...Mise en page photofiltre...Musique IA
De Grégory à Émile… ?
J’ai caressé la vie en ce vent violent
Ému d’un mot couvert aux flots d’une tempête
Brisant parfois mes os lorsque tout se répète
Je me sens seul au monde et traverse à pas lent
L’univers qui m’entoure en ce rêve obsolète
Il me tue à jamais dans un trou pour perpète.
J’aimerais retrouver l’amour de ma maman
Je ne peux pas le jour tellement me défendre
On me ballotte aussi je suis à me confondre
Au miroir de l’oubli l’on évite un moment
Mais qui fait donc de nous cet enfer qu’on engendre ?
Je n’ai rien demandé pourquoi tout cet esclandre ?
J’ai fêté mes trois ans croyez-vous insolent ?
On accuse sans crainte est-ce bien pour répandre ?
Toute une fièvre humaine à ce crime affolant !
Maria-Dolores
Son coeur ...La Balladette ...Musique IA ...Mise en page avec photofiltre
Son cœur
Lorsque brille son âme ayant une valeur.
Il va sur les chemins oubliant la chaleur,
D’un doux foyer aimant. Dans la nuit une étoile
Illumine les cieux, sous un regard brûlant,
D’une couleur vermeille en cet air ondulant
Où s’élève un brouillard comme à l’aube d’un voile.
Il entend le murmure en ce vaste océan
Où l’envol sous la lune au dessus du néant
Ravive sa mémoire aux jeux de son enfance
Fallait-il renoncer au bon vouloir du temps ?
Dans ce monde intrépide et cela pour longtemps !
Il ne décidait pas d’un écrit la puissance.
Il allait sagement où l’esprit beau parleur
Lui contait de mémoire un parcours d’innocence
Jamais il ne savait où le menait son cœur !
Maria-Dolores
Ô force s'accroit ....Balladette Étendue....Image phototfiltre et Musique IA
Ô Force s’accroît !
L’hiver au mois de mars s’offusque de partir
Et pourtant, le printemps veut bien prendre la place
Quand un amer poète exprime le martyr
Il ne peut dévoiler du cœur sa carapace.
Ayant tôt le matin dans l’ivresse le froid
Absorber par le temps suivant d’un pas tout droit
Cette ombre, qui le suit, ne connaît pas l’effroi.
Est-il un noir destin venant dans le silence ?
Habiter le courant dans un sombre avenir
Nul n’a pu remplacer cet usant souvenir.
Dans une gloire où naît l’épuisant devenir.
Poussant dans le futur l’esprit de l’insolence.
Personne ne traverse un invisible sort
Laissons, dans la torpeur l’absence d’une rose
Dans son âme, on entend le souffle d’un record
Et ravivant, du coup l’écrit dans une prose
La lune en son mentor veille d’une lueur.
Afin de révéler l’éclat de sa couleur
En goûtant l’amertume à sa vive douleur
Où sous un bois d’ébène enivre sa fragrance
Or, dans le creux de l’âme, on tient la vérité
L'eau source révélée en sensibilité !
Nouant d’un sombre pleur sa grande liberté
Dès lors la vie éclaire un doux soupir d’aisance,
Quand éclot la candeur couvant dans un désir
D’annoncer la saison au titre d’une grâce
Ressentez-vous l’ami le frisson du plaisir ?
L’aura qui vous conduit d’un songe vous enlace.
La nuit vient révéler un monde maladroit
Ô force d’un frimas dont, la tiédeur s’accroît !
Maria-Dolores
Prière...La balladette....Musique IA ...Mise en page Photofiltre
Prière...
Il dépeint le soleil aux crayons la lumière
Sous l’éclat merveilleux à l’onde coutumière
Illuminant la rose, ô ! Chaud décolleté,
Son pétale renvoie à la source éternelle
D’un printemps lumineux sur une ritournelle,
Il dicte sa couleur en toute liberté.
Entendez-vous aussi la simple messagère ?
Elle annonce la vie en souffle planétaire.
L’amour a déployé son esprit peu grivois,
Dans un vent caressant sous la bise vermeille,
À l’ombre de nos mots Érato s’émerveille
Et sur mon envolée elle écoute ma voix.
Or, le silence vient sur l’eau de la rivière
Où, je plonge d’un rire aux songes d’autrefois.
Je voyage dès l’aube en sa tendre prière.
Maria-Dolores