Le Dizain...
Désarmer...Dizains...Mise en page photofiltre...Musique IA
Désarmer...
Dormir, rêver, il songe à d’autres lendemains
Il est sage de croire aux plaisirs de la vie
Éclairer un poète en ces temps inhumains
Brisant dans la foulée un désir, une envie
Chacun, libre de voir un grain de fantaisie
Au troublant avenir bercé par la frayeur
Qui vient, nous révéler le sombre fossoyeur.
Nul ne peut librement présager de son âme
Si le ciel se contente au démon convoyeur
Quand d’une seule emprise, il inspire une femme.
Galvanisant l’effroi dans le souffle du vent
Peut-on imaginer l’instant dans la nuit noire ?
Bien que la lune veille en ce désir vivant
Il nous faut la garder au fond de la mémoire.
Afin de renoncer à la franche victoire
De briser à jamais les idoles de sang
Et d’ignorer toujours le principe du rang
Car chacun à son tour versera de sa larme
La douleur n’aura pas un esprit ignorant
La faiblesse du monde en l’espoir nous désarme !
Maria-Dolores
L'habitude vérité....Dizain....Musique IA...Mise en image Photoflitre
L’habitude vérité
Dans ce noir crépuscule, écoute une prière,
Or, le « Divin » connaît ton cœur dans la lumière,
Quand survient dès l’aurore un parfum de jasmin.
Nul ne savait les pas menant vers le silence
Dans l’ivresse du temps où l’on vit l’excellence
Et mon âme retient le fébrile chemin.
Tu ressens comme un trouble un vent de solitude.
Et je vis près de toi tous les jours que Dieu fait
Bâtissons notre amour d’un aveu satisfait.
Nous aimons l’intervalle, éludant l’habitude.
Permets-tu le désir dans l’azur de tes yeux ?
Imaginons encore un avenir soyeux
Qui me laisse pantoise au-dessus d’une étoile,
Je respire la rose et son nectar grisant
Couvant sous le regard mon être euphorisant
Tu poses sur l’épaule une pointe de voile
Que répand et conduit un air de liberté
J’aimerais te donner la grandeur d’un sourire
Partageons nos émois dans l’esprit qui soupire
Offre-moi l’innocence en toute vérité.
Maria-Dolores
Esprit ingénu ! Le Dizain....Mise en page photofiltre....Musique IA
Esprit ingénu… !
Il existe des mots écrits par le poète
Dénonçant bien des maux des plans sur la comète
Qui me glacent d’émoi tel le gel des hivers.
Ma pensée a trouvé comme une plénitude
Calypso, respectée a tant de gratitude.
Que m’inspire la muse en composant, des vers.
Il m’arrive parfois de ne pouvoir écrire
Mon meilleur, ressenti l'oubliait sur un pli
Et dans les draps froissés qui recouvrent le lit
Nos exploits jalousés fondant dans un sourire.
Inutile de croire en cette liberté
Que dépeint tout auteur dans une gratuité
Nul ne pense autrement vers le temps d’une ivresse
Que déplorent certains dans ce jardin de fleurs
Où s’émeut davantage un destin dans les pleurs.
Comme il doux de voir combien l’âme caresse
Le désir que chantonne un parfait inconnu
Du contour de sa lèvre aux couleurs de la rose
On attend simplement une métamorphose.
Lorsqu’on admire au vol un esprit ingénu.
Maria-Dolores
L'îlot de ton corps ...En vain ! Dizain...Mise en page photofiltre...Musique IA
L’îlot de ton corps...En vain !
Dans un regard, mon fils, raconte-moi ta vie
Facilement, tu sais observer loin devant
Et sur ta vision, ma plume est poésie !
Tu sais aussi mon grand la colère du vent
Celui qui vient chagrin d’un pleur vers le levant.
Tu croyais mon enfant que la vie était joie !
Le bonheur ne vient pas sans ouvrir une voie
Dans ce vase en cristal où prisonnier, tu dors.
Au parfum de ces mots du déclin qui se noie,
En ton amour brisé sur l’îlot de ton corps.
Au soir d’un doux printemps, réveille le silence
En elle, tu verras pour qui ton cœur battra.
Et dans une nuit blanche au creux de l’excellence ,
Tu penseras toujours à la fraîcheur d’un drap
Il te faut désormais penser en son aura
Sera-t-elle aussi grande en la voie éphémère ?
Que caresse l’émoi dans l’espoir de la terre !
Où d’une voix céleste, elle dira sans fin
Que votre ardeur viendra du bout de ce mystère,
Où l’éclat de tes yeux la fait souffrir en vain.
Maria-Dolores
Une émotion ! Dizains d'or...Mise en page Photofiltre...Musique IA
Une émotion !
J’écris des vers, en toute modestie.
Sur un nuage blanc des mots d’amour,
Que me murmure un brin de poésie.
Est-il juste et bon de veiller le jour ?
Ce chemin explorant un temps glamour.
Caresse donc la vie en mon silence.
Où, l’on dépeint l’espoir dans l’excellence
J’aimerais fleurir l’idéal chemin.
D’une rose rouge en la luminance
Puis m’émouvoir à ton rire gamin !
Apprends-moi la douce et tendre caresse,
Sous ton doigté, les courbes de mon corps
Au soupçon dévoilé d’un puits d’ivresse
Où nul ne peut troubler les désaccords !
D’une volupté dans de beaux décors
Où l’on se parfume et métamorphose
D’un charmant papillon qui se dépose
Sur notre âme éclat d’adoration
En ce jour, je comprends et l’on expose
Un mystère a l’air d’une émotion !
Maria-Dolores