Le Rouet
L'entre...Chat....Forme le Rouet ....Création photofiltre
L’entre...chat
Quand le marchand de sable oublie une âme un soir
C’est quelquefois la mienne où s’inscrit une vie
Mais voici que mon chat dès quatre heure à l’envie
Me réclame à manger et ne veut rien savoir
Puis enfin je me lève or râleur me convie
Du souhait de dormir comme on dit tel un loir.
Car trouver un instant où lui même se pose
La grasse matinée il me faut repasser
Qu’il me conte un délire au matin sans penser
Sur un coin du salon enfin il se repose
De façon que je puisse au calme rêvasser
Et composer pour vous ce poème sans prose.
Ignorant qu’il nous parle en langage de chat
Moi, je veux faire la sourde à sa vive demande
Mais je ne le peux pas il me met à l’amende
De poursuivre ses cris comme fait un pacha
Si tôt, sur mes deux pieds je reste à la commande
À bâtir de mes doigts sur clavier l’entre...chat….
Maria-Dolores
La bonne route....Forme le Rouet...Création photofiltre
La bonne route
Lorsqu’on peut réfléchir dans ce monde à la vie
Où va-t-on cher monsieur à bercer de désir ?
Cet aveu qui mûrit chaque jour à loisir
Je dessine d’un vœu sous la lune une envie
Où va-t-on cher monsieur à bercer de désir ?
Lorsqu’on peut réfléchir dans ce monde à la vie.
Inutile de croire au destin qui nous fuit
Quand le ciel nous indique où s’en vont les étoiles
Que le vent vient mourir sur un navire à voiles
Nous avouons sans gloire un attrait pour la nuit
Quand le ciel nous indique où s’en vont les étoiles
Inutile de croire au destin qui nous fuit.
On espère souvent trouver la bonne route
Que parfois l’on nous trace envers et contre tous
Mais voit-on la lueur qu’illumine pour nous
Ce bel astre puisant nos exploits sous la voûte
Que parfois l’on nous trace envers et contre tous
On espère souvent trouver la bonne route.
Maria-Dolores
L'ombre d'un secret ....Forme le rouet ...Création photofiltre
L’ombre d’un secret
Je dis parfois les mots que l’on n’écoute pas
Ils font souvent la danse et vont dans l’excellence
Ils charment mon émoi lorsque vient son trépas
Désolant tout ce monde après un grand silence
Ils font souvent la danse et vont dans l’excellence
Je dis parfois les mots que l’on n’écoute pas.
Ma plume est si légère exprimant un poème
Brisant toute habitude au sein d’une rancœur
Il fuit la médisance où laisse ton «je t’aime»
Couvrir ma lourde peine, éprouvé par mon cœur
Brisant toute habitude au sein d’une rancœur
Ma plume est si légère exprimant un poème.
Comme il connaît la fin et l’ombre d’un secret
Jamais il ne convient de parler d’une idole
Blessé par tant de voix je sème sans regret
L’espoir dont il partage un esprit faribole
Jamais il ne convient de parler d’une idole
Comme il connaît la fin et l’ombre d’un secret.
Maria-Dolores
Sortie au restaurant...Forme le Rouet...Image du restaurant le Garnier à Nice.
Sortie au restaurant
La veille on s’est rendu dans un bon restaurant,
Je garde en souvenir les chants et la musique.
« Les Gypsy » très charmants d’un esprit conquérant,
Sur guitare, ont joué des morceaux pur classique.
Je garde en souvenir les chants et la musique,
La veille on s’est rendu dans un bon restaurant.
Mon époux a gardé sans souffrir le sourire.
Le repas était fin sur la table un régal,
Et le monde était là, c’était un vrai délire
L’envoûtement du lieu tous sur un piédestal,
Le repas était fin sur la table un régal,
Mon époux a gardé sans souffrir le sourire.
Mais c’était une nuit au parfum de jasmin,
Je ne peux oublier la charmante soirée
Et l’amitié naissante en ce côté humain
Quand la magie opère au cœur de l’Empyrée.
Je ne peux oublier la charmante soirée
Mais c’était une nuit au parfum de jasmin.
Maria-Dolores
Interdite de réseaux...Forme le Rouet...Image sur le Net...
Interdite de réseaux
Je n’en pense pas moins pourtant on me bâillonne,
Bien seule dans mon coin est ma frustration,
Comme tout un chacun quand plus rien ne rayonne,
Échanger avec vous ma belle passion,
Bien seule dans mon coin est ma frustration
Je n’en pense pas moins pourtant on me bâillonne.
Mes partages d’amour ne sont plus un bonheur
Aujourd’hui je m’accroche à ma charmante plume
Et ma muse s’éveille en pleurs de déshonneur
Me laissant dans les yeux comme un voile de brume,
Aujourd’hui je m’accroche à ma charmante plume,
Mes partages d’amour ne sont plus un bonheur.
Car sur tous les réseaux on enterre la joie
Faudra-t-il que l’entrain vienne mourir demain ?
Dans un chant d’allégresse ignorant toute voie.
Je suis seule à poursuivre un éternel chemin,
Faudra-t-il que l’entrain vienne mourir demain ?
Car sur tous les réseaux on enterre la joie.
Maria-Dolores