Le Rouet
Sortie au restaurant...Forme le Rouet...Image du restaurant le Garnier à Nice.
Sortie au restaurant
La veille on s’est rendu dans un bon restaurant,
Je garde en souvenir les chants et la musique.
« Les Gypsy » très charmants d’un esprit conquérant,
Sur guitare, ont joué des morceaux pur classique.
Je garde en souvenir les chants et la musique,
La veille on s’est rendu dans un bon restaurant.
Mon époux a gardé sans souffrir le sourire.
Le repas était fin sur la table un régal,
Et le monde était là, c’était un vrai délire
L’envoûtement du lieu tous sur un piédestal,
Le repas était fin sur la table un régal,
Mon époux a gardé sans souffrir le sourire.
Mais c’était une nuit au parfum de jasmin,
Je ne peux oublier la charmante soirée
Et l’amitié naissante en ce côté humain
Quand la magie opère au cœur de l’Empyrée.
Je ne peux oublier la charmante soirée
Mais c’était une nuit au parfum de jasmin.
Maria-Dolores
Interdite de réseaux...Forme le Rouet...Image sur le Net...
Interdite de réseaux
Je n’en pense pas moins pourtant on me bâillonne,
Bien seule dans mon coin est ma frustration,
Comme tout un chacun quand plus rien ne rayonne,
Échanger avec vous ma belle passion,
Bien seule dans mon coin est ma frustration
Je n’en pense pas moins pourtant on me bâillonne.
Mes partages d’amour ne sont plus un bonheur
Aujourd’hui je m’accroche à ma charmante plume
Et ma muse s’éveille en pleurs de déshonneur
Me laissant dans les yeux comme un voile de brume,
Aujourd’hui je m’accroche à ma charmante plume,
Mes partages d’amour ne sont plus un bonheur.
Car sur tous les réseaux on enterre la joie
Faudra-t-il que l’entrain vienne mourir demain ?
Dans un chant d’allégresse ignorant toute voie.
Je suis seule à poursuivre un éternel chemin,
Faudra-t-il que l’entrain vienne mourir demain ?
Car sur tous les réseaux on enterre la joie.
Maria-Dolores
Fraîcheur de muse...Forme le Rouet ....image sur le Net
Fraîcheur de muse…
J’aimerais retrouver la fraîcheur de l’automne
L’été reste de plomb on y perd nos hivers
C’est une canicule elle est crise et s’adonne
Au chemin douloureux d’un poème sans vers
L’été reste de plomb on y perd nos hivers
J’aimerais retrouver la fraîcheur de l’automne.
On suffoque le jour et ma muse s’endort
Puis la nuit elle espère une brise légère,
Traçant sur le velin un seul mot d’un accord
Dont l’encre s’évapore en lune passagère,
Puis la nuit elle espère une brise légère,
On suffoque le jour et ma muse s’endort.
Je n’ai plus de raison de rêver d’une plume,
De chanter un poème au regard de tes yeux
Et je n’arrive plus à suivre dans la brume,
Le moelleux de tes bras, qui m’attire joyeux.
De chanter un poème au regard de tes yeux,
Je n’ai plus de raison de rêver d’une plume…
Maria-Dolores
Rage de dent ...Forme le Rouet...
Rage de dent
Une rage de dent quelle atroce douleur
Le dentiste ce soir jouera de la roulette
Cette immonde carie est ce sort harceleur
Où je pleure avec cœur ma souffrance muette
Le dentiste ce soir jouera de la roulette
Une rage de dent quelle atroce douleur,
En l’instant j’en pâtis sans faire une psychose
Endurer ce calvaire est un fait anormal,
Que faut-il que je fasse ou verrais-je morose ?
Et je prends un calmant qui me passe le mal
Endurer ce calvaire est un fait anormal
En l’instant j’en pâtis sans faire une psychose.
Une rage de dent quelle atroce douleur
En l’instant j’en pâtis sans faire une psychose
Cette immonde carie est ce sort harceleur
Que faut-il que je fasse ou verrais-je morose ?
En l’instant j’en pâtis sans faire une psychose
Une rage de dent quelle atroce douleur…
Maria-Dolores
Sourire d'enfant...Forme le rouet...variante...
Sourire d’enfant
J’aime tant son sourire il n’est plus un enfant,
Cet adulte indécis qui jalonne la vie,
Quand il sèche mes pleurs, je le vois triomphant
Il écoute si fier tout d’une âme ravie,
Cet adulte indécis qui jalonne la vie
J’aime tant son sourire il n’est plus un enfant.
Il me vend son bonheur et je reste muette
Hors présence il me noie en ses bras de douceur,
Il me doit sa naissance et son ombre émiette
Ces instants de plaisir quand il rêve sans peur,
Hors présence il me noie en ses bras de douceur
Il me vend son bonheur et je reste muette.
J’aime tant son sourire il n’est plus un enfant,
Il me vend son bonheur et je reste muette,
Quand il sèche mes pleurs, je le vois triomphant
Il me doit sa naissance et son ombre émiette,
Il me vend son bonheur et je reste muette
J’aime tant son sourire il n’est plus un enfant…
Maria-Dolores