Ludivine ma fille....Sonnet irrégulier....Mise en page photofiltre....Musique IA
Ludivine, ma fille...
Bonjour ma chère fille en ces mots, je t’écris
Ce poème d’amour d’une mère à sa blonde
Je garde le bonheur d’avoir mis dans mes cris.
Une joie infinie à ta venue au monde.
À quarante ans passés, je t’aimerai toujours
Tu restes mon enfant, dans ma chair et mon âme
J’espère de tout cœur qu’il nous reste des jours
Que l’on se reverra sur terre et sans un blâme.
Je voudrais retrouver avec toi le chemin
Tous les mots qu’on a dit, soient d’aucun lendemain
Ma « Ludi » sans rancœur reviens-moi puis pardonne.
Car il est encor temps d’aimer en tout honneur
Or, si j'ai de la peine en rien, je t’abandonne !
Et sûr d’un bel effet partageons le bonheur.
Maria-Dolores
À loisir...Sonnet irrégulier....Mise en page Photofiltre...Musique IA
À loisir...
Couvre-moi de baisers mon cher et bel amour.
Je vis tous nos instants d’une éternelle ivresse.
Parle-moi du printemps en un geste glamour
Mon regard s’illumine en ta tendre caresse.
Et tu m’offres la fleur d’oraison or, demain ;
Nous respirerions l’air de sa douce fragrance.
Mon gentil charmeur va, montre moi le chemin.
Sur les pas de la vie où coule l’espérance.
D’un sourire, tu viens afficher un cœur d’or,
Dans ce jour innocent où je rêve du sort
Que j’ai jeté sur toi dans le plus grand silence
Laisse voir sous la lune un aveu de plaisir.
Illuminant le ciel d’étoiles de faïence
Et je dors dans tes bras chaque soir à loisir.
Maria-Dolores
Ô coeur de femme !....Sonnet irrégulier...Mise en page photofiltre....Musique IA
Ô cœur de femme !
Je ne veux pas penser ni réfléchir vingt ans
Où serais-je dis-moi peut-être dans la tombe !
Personne ne veut le croire, on a toujours le temps !
Le temps de voir demain s’il va pleuvoir en trombe.
Nul ne veut le savoir, mais tout vient, chacun sait !
La mort est là puis frappe, on ne connaît pas l’heure !
Comment se dire adieu ? Tout aveu repoussait.
Sur le départ, on va, vers l’unique demeure.
Je me dis que j’espère encore quelques années
Vivre à côté de toi mon aimé, je le crois
Nous ne laisserons pas des nuits abandonnées,
À ce feu des enfers, ô cœur damné d’effrois !
Priant Dieu, mon "Seigneur" et de toute mon âme
Qu’il prenne en pitié la douleur d’une femme.
Maria-Dolores
Vagabonde nuit ! ...Sonnet irrégulier....Mise en page Photofiltre...Musique IA
Vagabonde nuit !
Vient mon cœur me charmer au-delà de l’ivresse
Quand souligne l’émoi vers un pays d’hivers
Où la lune témoigne un plaisir que caresse
Sous ton lys du tempo pour dépeindre nos vers.
Mon amour près de moi respire la fragrance.
À l’odeur d’une rose au jardin fabuleux
D’où personne ne suit, telle fuite à l’errance.
Je cherche du regard ton visage et tes yeux.
Avait-on traversé le chemin de la vie ?
Nous rapprochant tout deux d’une réalité !
Quand l’espoir vient saisir toute une poésie.
Et nous voulions chacun un peu de liberté
Afin de nous noyer dans l’éclat de ce monde
Pour terminer d’un souffle une nuit vagabonde.
Maria-Dolores
Je condamne....Forme le sonnet irrégulier ....Musique IA
Je condamne...
Voilà deux jeunes gens battus par des crétins
Qui vendent sans penser, des poisons si funestes
Il n’a pas fallu plus et nos anges gardiens
Étaient là sur les lieux si peu contre ces pestes.
Ils ont tant matraqué nos pauvres policiers
Victimes des bourreaux qui voulaient en découdre
Car ils n’avaient pas peur de ces deux officiers
En vendant sans égard leur saleté de poudre.
La Justice fait quoi ? Lâchant ces malfaiteurs
Car nul n'est à l’abri d’hostiles profiteurs !
On marche sur la tête, on leur fera la guerre !
Ne croyez pas messieurs qu’on court abandonnant
Les lieux bien investis laisseront sur la terre
Pensif et miséreux un monde condamnant…. !
Maria-Dolores