Hommage en poésie classique
Hommage à Vik Thor.... Stances ...Duo...photo sur Facebook
Hommage à Vik Thor
Il semble que le ciel ce matin soit moins pur,
Le froid s’appesantit, le vent souffle sans trêve.
Je cours vers cet hommage en cet instant obscur
Quand tombe dans nos cœurs l’annonce qui s’élève.
En effet, c'est cela, le Poète est parti,
L'Amour a disparu dans cette aube de glace.
Chacun sert son chemin, notre émoi se blottit
Dans ce bel univers où miroite une trace.
Son souvenir en nous rayonne infiniment,
Il éclaire nos jours mais nous versons des larmes.
On connaît la tristesse au bout du firmament
Quand le Poète voit la bonté de ses armes.
Duo Sphyria et Maria-Dolores
Crainte Hommage à J.Hallyday...Forme le sonnet madrigalesque...Mise en page de Mohammed Zeid
Craintes...Hommage !
L'âme craint l'oraison d'une marche funèbre
Où s'endort à penser le royaume des cieux
On ne garde jamais à ces choix gracieux
Le paisible matin au parcours si célèbre,
Une mort annoncée et tout n'est que pénombre
Une icône a l'esprit vif et capricieux
Qui touche tout le monde à l'air si soucieux,
Le cœur est invincible à l'amour qui fuit l'ombre.
Et chacun d'écouter la chanson dans le vent
Une foule s'émeut du chagrin ravivant
Lorsque souffle l'espoir lui faut-il une vie ?
Nous, voilà maintenant tout comme un orphelin ;
Johnny, ta voix fera toujours vibrer l'envie
Et tous ces cœurs blessés survivront au déclin.
Ton ombre enchanteresse au gala nous convie.
Chaque rythme ici-bas te raccroche un câlin....
Maria-Dolores
Il s'endort ...En ce jour Maxime...Forme le sonnet Français ...Mise en page de Mohammed Zeïd ...(le 28 octobre 2015)
Il s’endort
Il est parti, lui qui chérissait tant la vie
Oubliant le passé pour ne plus s’éveiller
Et le voile éternel cessant de l’effrayer
Car, son âme au blanc pur, le ciel l’a tôt ravie
On sentait dans ses mots un parfum de survie
Au matin d’une brume aimant éparpiller
Le murmure qu’un ange ébruite à réveiller
Mais le silence est d’or pour une cause obvie.
Aujourd’hui je me dois de le remercier
Des gracieux moments aux souvenirs d’acier
M’ayant tant inspirée à caresser la rime
Oui ! Tu vas nous manquer, toi notre ami des vers
Toi qui savais offrir en partage, sans prime.
Et je m’en souviendrai lors de mes nuits d’hivers.
Maria-Dolores