POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

Papillon

Un papillon volette autour d’un rosier pourpre

Invitant le silence à perdre le sommeil

Je garde le sourire en la brume l’éveil

Observez dans la nuit l’automne en grain de poudre

il ne m’en faut pas plus pour enfin le rejoindre

Illuminant l’instant le ciel sous le soleil

Un papillon volette autour d’un rosier pourpre

Invitant le silence à perdre le sommeil.

Est-il plus bel envol zébré d’éclair de foudre ?

L’orage a trépassé puis troublé le réveil

Dans l’effroi d’une peur exprimant un conseil.

Il est bien inutile entre nous d’en découdre

Un papillon volette autour d’un rosier pourpre

Invitant le silence à perdre le sommeil.

Maria-dolores

Un vrai bonheur

Elle a pour robe blanche et la couleur du ciel

Font vivre un vrai bonheur en toute circonstance

Je manque de doux mots et dans un grand silence

Il nous faut la goûter comme on aime le miel.

Chaleureuse et tranquille et tel un arc-en-ciel

Illuminant nos cœurs parfois dans l’insolence

Elle a pour robe blanche et la couleur du ciel

Font vivre un vrai bonheur en toute circonstance.

Elle vient nous surprendre en cérémoniel

Son haleine respire un air dans l’indolence

Et dans la nuit retient l’esprit de l’excellence.

Lady tient ce culot d’un caractériel

Elle a pour robe blanche et la couleur du ciel

Font vivre un vrai bonheur en toute circonstance.

Maria-Dolores

Cœurs enchantés

Il est de ces moments quand le ciel vous dévoile.

Un chemin une route à vos cœurs enchantés

Je résume l’histoire aux destins chahutés.

Quand l’espoir suit une ombre au parfum de la toile.

Puis l’amour vous invite et scintille une étoile

Sous les cieux, écoutez les anges contentés.

Il est de ces moments quand le ciel vous dévoile

Un chemin une route à vos cœurs enchantés.

Retenez chaque nuit le silence sans voile

Dès que je réprime aux aveux étêtés

Les méfaits de ce monde à jamais rejetés.

Pensez donc que la vie est une cathédrale.

Il est de ces moments quand le ciel vous dévoile

Un chemin une route à vos cœurs enchantés.

Maria-Dolores

Conter fleurette...

J’observe dans la nue un désir langoureux.

Quand l’espoir vient le soir pour nous conter fleurette

Chacun sent la fragrance, ô ! Blanche pâquerette,

Il est plus beau moment et nous voici heureux.

Mon sourire, étourdi s’étend à l’amoureux.

Le parfum de la rose étonne guillerette.

J’observe dans la nue un désir langoureux.

Quand l’espoir vient le soir pour nous conter fleurette.

Je me laisse porter vers l’esprit vaporeux.

Car mon ange revêt sur son aile bluette

Une aube immaculée à la lueur secrète.

L’automne vient couvrir l’été fort chaleureux.

j’observe dans la nue un désir langoureux.

Quand l’espoir vient le soir pour nous conter fleurette.

Maria -Dolores

Peine d’automne…

Ce parfum de saison embaume le jardin

Puis une fleur se fane en ma peine morose

L’été vient se coucher dans l’ombre d’une rose

Partageant dans le soir le souffle du dédain.

L’envol d’une hirondelle a fui le citadin,

L’automne a recouvert d’une feuille ma prose.

Ce parfum de saison embaume le jardin

Puis une fleur se fane en ma peine morose.

Quand l’azur a tracé le songe qui dépose

Dans mon âme l’oubli de cet air anodin

Sur ces temps, on s'inspire en l'éternel Odin.

Le déclin du soleil accable un virtuose,

Ce parfum de saison embaume le jardin

Puis une fleur se fane en ma peine morose.

Maria-Dolores