Forme le sonnet Quinzain
Les jugements...Le sonnet Quinzain...Création photoflitre ...Musique IA
Les jugements...
Elle veille un secret où se fige un mystère.
Inlassable, elle vit l’emprise de la nuit
Quand la lune illumine un regard sur la terre
En chassant vivement de nos cœurs tout ennui.
Savez-vous la nuance à la vive tendresse
Où l’amour se dessine au fusain nébuleux
J’aimerais rêvasser sous sa tendre caresse.
Immensité du soir vers l’astre fabuleux.
Fallait-il un sommeil oublieux de votre ange
À l’ombre d’un tombeau couronné de louange
Pour que le crépuscule attise les tourments !
Garde-toi d’acclamer toutefois le silence
Dont éclot une fleur, éclats d’envoûtements,
Qui parfume le temps d’une tendre fragrance !
Nul ne doit condamner en actifs jugements !
Maria-Dolores
Sans paix !... Forme le sonnet Quinzain...Création photofiltre ...Musique IA
Sans paix !
J’étends un manteau noir au rivet de ton âme
Pour ne pas transcender le miroir de rancœur.
Le reflet que je vois plus jamais ne m’enflamme
Je garde au fond de moi la brûlure en mon cœur.
Tu m’évites et je pleure épuisée à la source
De hurler ma douleur tiraille mon honneur
La souffrance à l’oubli se refuse à la bourse
Car jamais l’or ne peut t’offrir le vrai bonheur.
Je me sens dans l’effroi du destin dont je souffre
Dans un songe lointain, je rêvais que l’on m’offre
Des plaisirs démodés aujourd’hui, je le sais !
Et laisse-moi rêver d’un parfum exotique
Pour penser à demain d’extase narcotique
Je niais, tous travers et toi, tu le savais !
Quand je cède à ma vie aux déboires sans paix !
Maria-Dolores
Je pars...Sonnet Quinzain...Création Photofiltre ....Musique IA
Je pars
Je pars sans toi sans rien, j’abandonne la vie
Ou bien, c’est elle, qui ne veut plus de mon cœur
Tout mon être physique expire et fuit l’envie
Le temps est si puissant, je n’ai plus de rancœur.
Si je m’en vais ce jour, je suivrai la lumière
Celle qu’on voit toujours même au soir d’une nuit
Puis brillera pour moi dans l’ombre coutumière.
Une étoile, au-dessus, veillera sans l’ennui.
Je garderais sur moi cette étrange souffrance
Tu chercheras aussi le fruit de l’impuissance
Quand tes yeux sombreront dans le vide univers
Pourras-tu refuser de prendre avec tendresse ?
Cet espoir en chacun de fuir tous les travers.
Le souffle de mon corps perdu dans une ivresse !
Mon calame pour toi, n’écrira plus de vers !
Maria-Dolores
Grâce....Le Sonnet Quinzain...Création photofiltre....Musique IA
Grâce
Je bâtis tous les jours un siècle d’espérance
Où tu savais un temps retrouver le chemin
Entends-tu maître Éole épris de tolérance ?
Aucun doute, il ressent dans tes yeux le gamin.
J’aimerais retrouver l’esprit d’une fragrance
Que l’on voudrait garder dans le creux d’une main.
Mais s’envole l’odeur dans l’oubli de l’errance
Mon esprit vagabonde, au pays du jasmin.
Je cherche dans ton cœur le vœu de délivrance
À marcher devant moi dans une cohérence
Dont l’instant te dévoile un chant de liberté.
Es-tu seul à penser que la vie est réelle ?
Aux couleurs de l’amour pour toute vérité
D’où renaît chaque nuit une joie éternelle.
Garde en toi le bonheur, grâce d’éternité !
Maria-Dolores
Délivrance...le sonnet Quinzain...Création photofiltre ...Musique IA
Délivrance
Je ne sais pas comment lui dire enfin adieu.
Savoir qu’elle s’en va que son âme voyage
Déjà vers l’infini vers cet amour de Dieu
L’accueillant dans ses bras, nul ne sait son sillage.
Rêve-t-elle la nuit tout l’assaille en l’ oubli
Le silence la tue, elle fuit l’amertume !
Avait-elle saisi le démon de la nuit ?
Car le bel océan ne laisse que l’écume.
Elle boit à la source une eau pure en cristal
Je ressens l’idéal à l’aveu capital.
Elle a dans le regard une larme enflammée.
Et parfois s’en aller et pouvoir le choisir
Y dévoile un espoir d’une ardeur parfumée.
À l’encens retrouvé pour une âme à saisir.
Ainsi s’offre le cœur, délivrance fumée !
Maria-Dolores