Vanda, Ô princesse des fleurs
De grâce, cesse de tressaillir !
Je viens te raconter mes pleurs
Sans nulle envie de te cueillir
Ma main de vieillissant esseulé
Ne pourra point te faire souffrir
Qui,passion et amour ont isolé
N’a plus personne à qui t’offrir
Pour moi, t’admirer du regard
Suffirait pour régaler mon cœur
Et réconforter mon ego hagard
Ce grand martyr de la rancœur
Je ne suis plus qu’un moi bridé
Venu à toi, espérant sédation
Ô Vanda, Gracieuse orchidée
Fais revenir mes délectations !
barateur
Dernière modification le mercredi 01 Juillet 2020 à 18:06:58
L'alphabet fut l'origine de toutes les connaissances de l'homme et de toutes ses sottises.
Voltaire (1694-1778)